La famille royale « panique » : Andrew Windsor serait au « bord du suicide » après sa destitution !
La crise royale prend une tournure dramatique : des « craintes de suicide » secouent le palais de Buckingham suite à la destitution totale d’Andrew Windsor ! L’ancien prince, âgé de 65 ans et tombé en disgrâce, serait dans un « état sombre et fragile » après avoir été déchu de ses titres et contraint de quitter sa luxueuse résidence.
Selon RadarOnline.com, l’humiliation a été totale la semaine dernière lorsque le palais a confirmé qu’Andrew ne serait « plus connu sous le nom de prince Andrew » et qu’il devrait « quitter Royal Lodge », son manoir de 30 pièces d’une valeur de 40 millions de dollars situé sur le domaine de Windsor.
Cette décision radicale, impulsée par le Roi Charles III pour rompre tout lien officiel avec son frère, signifie qu’Andrew doit désormais vivre simplement comme « roturier » Andrew Mountbatten Windsor dans un logement privé sur le domaine de Sandringham.
Le palais a officialisé la procédure de destitution, notifiant le « retrait au prince Andrew son titre, ses honneurs et son style ». Le communiqué soulignait la fermeté du Roi, ajoutant que la décision était prise « malgré le fait qu’il continue de nier les allégations portées contre lui », réaffirmant que le Roi et la Reine « demeurent solidaires des victimes et des survivants d’abus ».
L’impact de cette destitution sur le moral d’Andrew est jugé alarmant. Des « sources proches du palais » le décrivent comme « brisé et replié sur lui-même », n’ayant « pratiquement pas été vu ni entendu » depuis l’annonce.
« C’est la panique en coulisses », a déclaré un proche, ajoutant qu’Andrew est « complètement isolé » et a le sentiment d’avoir « tout perdu : son titre, sa demeure, sa dignité ».
Leurs craintes sont extrêmes. « Sa famille craint qu’il ne commette un acte désespéré. Il a confié à son entourage qu’il n’avait plus aucune raison de vivre », a révélé cette même source.
Une autre source royale a confirmé qu’il était « brisé et replié sur lui-même », insistant sur le fait que l’humiliation l’avait poussé « au bord du gouffre » : « Les titres, la loge, le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand – tout a disparu du jour au lendemain. Il est humilié, en colère et profondément déprimé ».
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