Nicolas et Giulia Sarkozy : Un fête qui vire au drame !
Le 25 septembre dernier, Nicolas Sarkozy a été frappé par un « coup de massue » : le tribunal correctionnel de Paris l’a condamné à cinq ans de prison ferme pour « association de malfaiteurs » dans l’affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007.
Et avant son entrée en prison, l’ex chef d’Etat a organisé une sorte de « pot de départ » le 8 octobre, réunissant pour l’occasion ses plus fidèles soutiens au pavillon des Étangs en plein cœur du bois de Boulogne. Et sa fille Giulia se serait effondrée.
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Selon Le Figaro Magazine, environ 150 personnes ont participé à cette soirée d’adieux.
Parmi les invités « triés sur le volet » se trouvaient des proches comme la ministre de la Culture, Rachida Dati, le maire Les Républicains de La Baule, Franck Louvrier, ou encore Emmanuelle Mignon, son ancienne directrice de cabinet à l’Élysée.
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Un clan « choqué au-delà du possible » par cette condamnation qui signifie l’absence du « pilier » de la famille pour une durée encore inconnue.
La plus touchée reste la petite Giulia, 13 ans. Après le choc du verdict, la fille de Carla Bruni se serait « totalement écroulée » en apprenant que son « papa adoré lui serait bientôt enlevé ». La jeune demi-sœur de Louis aurait « pleuré toutes les larmes de son corps » et se serait jetée dans les bras de son père. Pire, la « malheureuse » aurait été « incapable de se rendre au collège le lendemain » !
En « digne héritière des gènes de son roc de père », l’adolescente s’est vite ressaisie.
Elle a publié sur son compte Instagram un cliché rare d’un moment de grande tendresse de son enfance.
Mieux, la fille de Carla Bruni s’est offert une superbe manucure en prévision de sa soirée d’anniversaire le 19 octobre, deux jours avant le « départ inévitable » de l’ancien maire de Neuilly-sur-Seine. Pourtant, cette fête qui devait être « joyeuse et insouciante » risque bien de « virer au drame » alors que la jolie Giulia s’apprête à souffler ses 14 bougies, une étape importante où elle a « grandement besoin de ses deux parents ».
Heureusement, Carla Bruni sera « très présente » pour « s’échiner à combler l’absence de Nicolas » ». De plus, l’ancien président, en raison de son âge (70 ans) et de son statut, sera placé dans le « quartier vulnérable (QPV) » de la prison de la Santé, et pourra rapidement déposer une demande de mise en liberté. Des éléments qui devraient « rassurer sa fille bien-aimée ».
