Charles III « profondément touché » par l’amour de ses sujets face au cancer !
Depuis la confirmation de sa maladie en « février 2024 », le Roi Charles III a montré un visage inédit, loin de l’image de monarque « dur et distant » que beaucoup d’Anglais lui prêtaient autrefois. Le souverain, luttant contre un « cancer » qui a nécessité un « traitement lourd et régulier », a laissé parler ses « émotions » face à cette terrible épreuve.
Comme le rappelle le magazine France Dimanche dans son édition de cette semaine, le père de William et Harry a d’ailleurs exprimé sa vulnérabilité en public le 30 avril dernier au palais de Buckingham, accueillant des représentants engagésdans la lutte contre le cancer..
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Il a tenu à souligner que « Chaque diagnostic,, chaque nouveau cas, sera une expérience intimidante et parfois effrayante pour ces personnes et leurs proches ».
Mais au-delà de la peur, le monarque s’est surtout confié sur l’aspect humain de cette épreuve. « Mais, ayant moi-même été confronté à ces statistiques, je suis en mesure de témoigner que cela peut aussi être une expérience qui révèle ce que l’humanité a de meilleur », a-t-il indiqué.
De fait, depuis près de deux ans, Charles III semble s’être adouci, « au point de ne plus chercher désormais à cacher ses émotions ». La véritable source de son émoi ne serait pas sa propre maladie, mais le soutien de ses sujets. Le souverain ne s’y serait
Selon Robert Jobson, un spécialiste des têtes couronnées, le roi « a été ému aux larmes, non pas par sa maladie, mais par les milliers de lettres de soutien qu’il a reçues », a-t-il expliqué au Daily Mail le 4 novembre.
Ces « marques d’amitié » sont d’autant plus significatives qu’elles contrastent avec les années d’« opprobre » subies après son divorce d’avec Diana. Le roi a été « profondément touché de constater que tant de personnes se souciaient de lui et lui souhaitaient un prompt rétablissement ». L’expert a ajouté que ses « collaborateurs les plus anciens ont remarqué un changement chez leur employeur », un adoucissement provoqué par la vague d’amour et de compassion qu’il a reçue, notamment via les « cartes, manifestement confectionnées par des enfants et recouvertes de paillettes ».
