Prince Andrew puni par Charles riposte : il « menace » de dévoiler les « sombres secrets »
C’est une escalade sans précédent ! Le Prince Andrew a été confronté à un « camouflet » cinglant. Ce jeudi 30 octobre, Charles III a publié un « communiqué lapidaire » annonçant le lancement d’une procédure visant à « déchoir son frère de ses derniers titres et honneurs ». Mais les choses ne sont pas terminées. Une riposte en vue !
Le Palais de Buckingham a été clair : « Le prince Andrew sera désormais connu sous le nom d’Andrew Mountbatten Windsor ».
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Cette décision, prise sous la pression du Prince William et de Kate Middleton – qui « revendiquent une monarchie irréprochable » –, intervient après que l’affaire Epstein a remis le père des princesses Beatrice et Eugenie sous le « feu des projecteurs ». La publication des Mémoires posthumes de Virginia Giuffre a ravivé le scandale, l’accusatrice affirmant notamment avoir été contrainte d’avoir des relations sexuelles avec le frère du monarque alors qu’elle n’avait que 17 ans, rappelle le magazine Public, qui revient sur cette sombre histoire.
Le roi est allé plus loin dans les sanctions : Andrew est également « évincé en bonne et due forme de Royal Lodge », la villa qu’il occupe depuis des décennies sans avoir payé son loyer pendant vingt ans. « Un avis formel a maintenant été délivré pour qu’il renonce au bail et qu’il déménage dans un logement privé », précise le communiqué.
Mais l’acteur de ce scandale « n’a que trop duré » a riposté en coulisses. « Il a longtemps hésité car Andrew connaît ses moindres secrets », révèle une source qui s’exprime sous couvert d’anonymat. Face à la détermination de son aîné, Andrew aurait « menacé de révéler au public les plus sombres secrets des Windsor » si Charles ne lui offrait pas la jouissance d’Adelaide Cottage et Frogmore House en échange de Royal Lodge.
Le Palais est encore « choqué par la publication des Mémoires du prince Harry » et leur « potentiel explosif », et « personne n’a envie qu’un deuxième Suppléant sorte en librairie ». Pourtant, Charles III a refusé de céder au chantage.
Le communiqué conclut sans appel : « Leurs Majestés tiennent à préciser que leur plus profonde sympathie a été, et restera, avec les victimes et les survivants de toutes formes d’abus ». Cette fois, « il n’y aura plus de retour en arrière ».
