Scandale ! Prince Andrew au cœur de révélations « glauques » : orgie avec 40 prostituées aux frais du contribuable ?
Alors qu’il vient de perdre tous ses titres royaux par décision du Roi Charles III, Andrew Mountbatten Windsor se retrouve de nouveau au centre d’un scandale qui met en péril son image déjà déshonorée. Le Prince déchu est désormais confronté à des allégations de mœurs qui remontent à son rôle d’« envoyé spécial du Royaume-Uni pour le commerce international » entre 2001 et 2011.
Jeudi 30 octobre, le Buckingham Palace avait publié un communiqué tranchant, précisant que « ’Sa Majesté Charles III a aujourd’hui engagé une procédure officielle visant à retirer au prince Andrew son titre, ses honneurs et ses distinctions ». Et comme pour couronner cette mauvaise période, un nouveau séisme éclate !
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Selon l’historien royal Andrew Lownie, l’ancien duc d’York aurait sollicité des « travailleuses du sexe » lors d’un voyage officiel en Thaïlande, transformant ses déplacements « financés par les contribuables comme occasions personnelles ».
Lownie affirme que l’ancien duc aurait fait venir « quarante travailleuses du sexe dans un hôtel cinq étoiles en seulement quatre jours ».
L’historien décrit cette période comme une « crise de la quarantaine » et assure que lors de ce voyage en Thaïlande, Andrew aurait « insisté pour séjourner dans un hôtel de luxe plutôt qu’à l’ambassade » pour mieux organiser ces rencontres. Ces informations auraient été « vérifiées » par plusieurs sources, dont un membre de la famille royale thaïlandaise.
Ces révélations surviennent alors qu’il est déjà mis au ban de la Couronne, notamment en raison de sa relation avec Jeffrey Epstein et des accusations de Virginia Giuffre selon lesquelles le duc aurait eu des relations sexuelles avec elle « à trois reprises alors qu’elle n’avait que 17 ans ».
Le Andrew continue de « nier ces allégations ». Il doit désormais vivre en tant que simple citoyen sous le nom d’Andrew Mountbatten Windsor, tandis que ses filles, les Princesses Eugenie et Beatrice, conservent leurs titres royaux.
