Scandale à Buckingham : les révélations sordides sur l’intimité du prince Andrew
Certains secrets d’alcôve sont si crus qu’ils semblent dépasser la fiction, mais ce sont pourtant des réalités qui ternissent aujourd’hui les dorures de la monarchie britannique.
Dans un livre choc qui fait grand bruit, l’auteur Andrew Lownie lève le voile sur une face particulièrement sombre de la vie du prince Andrew à Buckingham.
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Selon ces révélations, le personnel de maison aurait été confronté chaque matin à une tâche révoltante : ramasser des mouchoirs imbibés de fluides corporels laissés au pied du lit princier. Une ancienne gouvernante du palais, Wendy Berry, conforte ce propos.
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Elle affirme que les « habitudes laissaient à désirer » du fils de la reine, ce qui ne manquait de provoquer un dégoût profond chez ses collaborateurs.
Le calvaire des employées de maison ne s’arrêtait pas à ce nettoyage dégradant. L’ouvrage détaille un climat de travail toxique où le prince aurait multiplié les agissements déplacés dans une « impunité totale ».
On y apprend qu’il aurait exigé des massages en étant intégralement nu, tout en se permettant des commentaires graveleux ou des intrusions intempestives « dans les espaces réservés au personnel ».
Une situation que beaucoup connaissaient en interne, mais sous le sceau du secret : « Tout le monde savait, mais personne n’osait parler », peut-on lire dans l’enquête.
Les femmes de chambre, contraintes au silence par le protocole et la hiérarchie, devaient ainsi masquer la honte royale jour après jour.
Ces nouvelles allégations portent un coup terrible à une institution déjà fragilisée, commente le magazine In Touch.
Alors que le prince Andrew est déjà en retrait de la vie publique suite à d’autres affaires judiciaires, cette mise en lumière de son comportement privé achève de dégrader son image.
Ce linge sale, qualifié de particulièrement nauséabond par les observateurs, se lave désormais sur la place publique, jetant un froid glacial sur la famille royale. Pour la monarchie, cette énième polémique est une véritable claque dont les détails scabreux risquent de marquer durablement les esprits des contribuables britanniques.
