Le prince Andrew : le prix du silence imposé par le roi Charles

– par Nolwenn A. Dalpiva
Le prince Andrew : le prix du silence imposé par le roi Charles

Derrière les clichés mélancoliques de l’ancien duc d’York se cache une réalité bien plus pragmatique. Selon le média américain RadarOline, Andrew Windsor serait lié à son frère aîné, le roi Charles, par un accord financier.



Le second fils de la reine Elizabeth dont la réputation a été durablement ternie en raison de son implication dans le scandale Epstein serait désormais contraint de participer à des « séances photos en solo mises en scène ».

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L’objectif de cette manœuvre semble bien curieuse. Le Palais souhaite l’exposer lors de dates clés pour donner l’image d’un homme esseulé et accablé par le regret. Cette mise en scène viserait à prouver au public qu’il a été « totalement mis au ban » de la monarchie britannique.

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Cette tactique, surnommée la « stratégie du Royal solitaire », consisterait à photographier Andrew lors de ses promenades à cheval habituelles. Et l’objectif serait de souligner son isolement.

A en croire une source proche qui se livre sous couvert d’anonymat, ces apparitions ne seraient en rien fortuites. Elles feraient partie d’une « stratégie publique secrète de la Firme » destinée à sauver les apparences.

En affichant un membre de la famille royale « totalement puni », l’institution espérerait clore le chapitre des « scandales sordides » qui ont ébranlé l’opinion publique ces dernières années. Il s’agirait, comme le prétend le média américaine, comme l’illusion d’une sanction exemplaire et définitive.

En contrepartie de cette « humiliation publique » et de son silence absolu, Andrew recevrait une allocation financière ainsi qu’une garantie de logement pour le restant de ses jours.