Meghan Markle accusée de vol après un Shooting Variety

– par Nolwenn A. Dalpiva
Meghan Markle accusée de vol après un Shooting Variety

Alors qu’elle est déjà ciblée à cause de sa marque culinaire As Ever et qu’elle prépare d’autres projets sur Netflix, Meghan Markle est au centre d’une nouvelle rumeur embarrassante.



Aux États-Unis, une journaliste de NewsNation affirme détenir des preuves selon lesquelles la Duchesse de Sussex aurait « embarqué, sans demander la permission », une robe de luxe après un shooting photo pour le magazine Variety il y a trois ans.

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La pièce en question est un modèle Ushuaia vert émeraude de la marque Galvan, estimé à environ 1500 euros.

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La robe est clairement reconnaissable sur Meghan dans une vidéo Instagram postée par Variety le 19 octobre 2022, et serait même réapparue dans la bande-annonce de son prochain projet, With Love, Meghan, diffusée il y a seulement quelques semaines. Cette sombre histoire est rappelée par le magazine Public.

Cette nouvelle accusation s’ajoute à des rumeurs plus anciennes concernant la probité de l’ex-actrice. Une autre journaliste, Vanessa Grigoriadis, avait affirmé en 2016 que Meghan Markle aurait tardé à rendre une paire de chaussures de luxe après un autre shooting. Pis encore, elle aurait été retrouvée l’année suivante aux pieds de la Duchesse au moment où celle-ci « annonçait ses fiançailles avec le prince Harry ! »

Une source anonyme a également rappelé la frustration de Meghan Markle lorsqu’elle a rejoint la famille royale et a dû renoncer à garder les cadeaux offerts par les marques, ce qui est « formellement interdit au Palais ».

« On fait beaucoup et on n’est même pas payé pour cela ! », avait déploré à l’époque l’épouse du prince Harry.

Face à ces accusations, Meghan Markle a immédiatement contre-attaqué par la voix de son porte-parole.

« Pas question de se laisser traiter de voleuse », le communiqué de son représentant est cinglant : « L’insinuation selon laquelle des articles auraient été pris sans que les stylistes présents en aient été pleinement informés et aient donné leur accord est non seulement catégoriquement fausse, mais aussi hautement diffamatoire ».

Le porte-parole a également précisé que « tous les articles conservés l’ont été en toute transparence et conformément aux dispositions contractuelles ». Une manière de « rhabiller » ses accusatrices pour l’hiver.