Noël sous le soleil pour Prince Harry et Meghan Markle, mais le cœur ailleurs ?

– par Nolwenn A. Dalpiva
Noël sous le soleil pour Prince Harry et Meghan Markle, mais le cœur ailleurs ?

Le contraste ne pourrait pas être plus saisissant. Alors que la famille royale britannique se prépare à perpétuer ses rituels immuables dans le Norfolk, une certaine tristesse semblerait s’inviter chez le prince Harry et Meghan Markle.



Pour la septième année consécutive, le duc de Sussex ne partagera pas la dinde de Noël avec les Windsor. Installé avec son épouse et leurs deux enfants, le prince Archie et la princesse Lilibet, l’exilé de Montecito s’apprête à célébrer les fêtes sous le soleil de la Californie, bien loin de la grisaille et du protocole rigide de la Couronne.

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Depuis leur départ fracassant en 2020, cet éloignement est devenu la norme, mais le poids des souvenirs reste difficile à ignorer en cette période de fin d’année.

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Selon Jennie Bond, ancienne correspondante royale de la (BBC) interrogée par le Mirror, le prince Harry naviguerait entre des eaux troubles, tiraillé par des sentiments contradictoires. S’il a choisi sa nouvelle vie outre-Atlantique, les racines britanniques continuent de tirer sur son cœur.

L’experte rappelle d’ailleurs que le duc a déjà admis que certains éléments de son ancienne existence lui manquaient cruellement, citant notamment « les plaisanteries, la culture des pubs, ses amis et les réunions de famille ». Malgré les tensions, Harry conserverait ainsi « un profond amour pour la Grande-Bretagne ». Cela rendrait chaque mois de décembre un peu plus douloureux que les autres.

La vision de son clan effectuant la célèbre marche vers l’église de Sandringham pourrait d’ailleurs agir comme un véritable déclencheur émotionnel.

Pour Jennie Bond, ces clichés très familiers pourraient « lui arracher un profond sentiment », et ne manquerait pas de raviver le regret d’une unité perdue. Pourtant, ce vague à l’âme pourrait n’être que passager. La correspondante souligne avec une pointe de réalisme que face à la douceur de vivre californienne, entouré de sa femme, de ses petits et de sa belle-mère, l’image d’un Norfolk « souvent gris et humide » pourrait rapidement perdre de son charme.