Le projet macabre d’un fan de Faustine Bollaert
Ce samedi 11 octobre, Faustine Bollaert était l’invitée de l’émission On refait la télé sur RTL. Si l’animatrice a évoqué son parcours et son nouveau rôle à la tête des Enfants de la télé, elle a aussi levé le voile sur les aspects plus sombres de sa notoriété. L’animatrice de Ça commence aujourd’hui a en effet été confrontée à des comportements franchement inquiétants.
Celle qui serait séparée de l’écrivain Maxime Chattam a révélé avoir eu affaire à plusieurs reprises à des « tarés qui se sont manifestés » auprès d’elle.
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L’un d’entre eux l’a particulièrement terrifiée : « J’ai eu, plusieurs fois, un peu des tarés qui se sont manifestés auprès de moi et notamment un homme qui me harcelait et qui m’envoyait des tas de lettres. Au début je ne m’inquiétais pas tellement », a-t-elle raconté dans le cadre de cette émission.
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Mais la situation a rapidement pris une tournure glaçante. L’homme avait en effet imaginé un projet macabre pour l’animatrice.
« En fait, il voulait m’installer dans sa cave et m’expliquait que je ne serais pas traumatisée, car je pourrais faire mon émission en direct depuis sa cave et qu’il ne fallait pas que je m’inquiète », a confié celle qui a été traumatisée par DSK.
Le harceleur avait même poussé le délire jusqu’à envoyer un fichier détaillant et budgétisant son projet fou. « Le fichier se terminait par un cercueil biplace. Il me disait qu’il avait trouvé un artisan qui pouvait fabriquer notre cercueil pour plus tard. En gros, je n’avais aucune raison d’être inquiète pour l’avenir puisqu’il avait tout prévu », a révélé Faustine Bollaert, maman de deux enfants.
Ces débordements sont malheureusement le lot quotidien de l’animatrice. Elle reçoit régulièrement des photomontages obscènes et confie être sollicitée « tous les jours » pour des photos de ses pieds.
Une situation dont elle préfère rire pour dédramatiser : « Du coup maintenant, il faut que je les fasse toujours nickel. Sinon, vous imaginez avec des verrues, ce serait abominable », a-t-elle ironisé.
