Faustine Bollaert : « Un énorme trou dans la tête de mon fils ! »

– par Nolwenn A. Dalpiva
Faustine Bollaert : « Un énorme trou dans la tête de mon fils ! »

Pour sa nouvelle émission de radio, Faustine Bollaert a vécu un moment de télévision d’une intensité rare. L’animatrice, reconnue pour son empathie et sa capacité à se projeter dans les récits de ses invités, a recueilli le témoignage d’une mère, dont le fils a été victime d’un terrible accident.



Cette semaine, le magazine Ici Paris, qui affiche la présumée ex de Maxime Chattamen sa Une, a dévoilé un extrait de l’émission radiophonique de Faustine Bollaert.

À lire : Faustine Bollaert face à une maladie auto-immune

Il s’agissait du témoignage d’une mère, dont le fils a été gravement blessé après qu’un panneau de métal de près de 80 kg lui est tombé dessus.

À lire : Faustine Bollaert en couple avec un patron de radio !

La mère a revécu ce moment d’horreur, se souvenant de la vision insoutenable qui s’est présentée à elle. Son fils, qui jouait paisiblement, a eu la tête gravement blessée. Un moment de choc, où elle a vu son enfant couvert de sang.

La mère a décrit la scène avec des détails glaçants. Le meuble, pesant près de 80 kg, a révélé l’ampleur du drame, laissant un trou important sur la tête de l’enfant. La mère a confessé avoir été tétanisée par la peur en voyant son fils, hurlant de douleur.

"Une mare de sang et sa boîte crânienne est visible", a-t-elle témoigné. Le petit garçon, qui est resté conscient, ne réalisait pas la gravité de sa situation.

"Il était conscient, il m’a demandé s’il saignait du nez, il hurlait...", a-t-elle expliqué. Heureusement, le petit garçon s’en est sorti.

L’animatrice, maman elle-même, n’a pas pu rester de marbre face à un témoignage déchirant, qui l’a sûrement renvoyée à ses propres angoisses.

Le récit a en tout cas laissé Faustine Bollaert sans voix. Face à un tel drame, la question se pose : aurait-elle pu garder son sang-froid ? On peut seulement espérer que la vie ne la confrontera jamais à une telle situation, comme elle l’avait confié cet été à La Tribune dimanche : "J’aimerais accueillir les orages et les laisser passer sans trop d’inquiétude".