Vanessa Paradis et Benjamin Biolay, l’amour au grand jour dans Gala

– par Chloe B. Arieux
Vanessa Paradis et Benjamin Biolay, l'amour au grand jour dans Gala

Après avoir joué à cache-cache avec les paparazzi durant deux ans, Vanessa Paradis et Benjamin Biolay s’affichent désormais au grand jour, rapporte ’Gala’ qui confirme une fois pour toute leur idylle.

’Deux ans après leur coup de foudre musi­cal, l’écor­ché vif de la chan­son française est mieux que jamais le nouvel homme-orchestre de sa vie’, rapporte le magazine people dans son édition du 3 décembre, avant d’assurer les deux compagnons de route installés ensemble non pas dans le loft de la chanteuse au Marais comme cela avait été supposé par ’Closer’, mais ’à l’hô­tel Park Hyatt, à Paris’.

’Ils assurent actuellement la sortie du live de la tour­née Love Songs Tour. Sur le plateau du Grand Jour­nal de Canal+, leurs regards ne trom­paient pas, chacun termi­nait les phrases de l’autre, le sourire complice, la moue câline, le geste tendre’, glisse la publication, qui estime qu’avec Benjamin Biolay, Vanessa Paradis vit une sorte ’de rennaissance’.

Ce propos est conforté par Hugues Royer, l’auteur de ’Vanessa Paradis, la véritable histoire’.

’C’est une femme qui se sent comme une éter­nelle débu­tante. Pour elle, Benja­min Biolay représente une renais­sance’, a-t-il indiqué.
Avec le chanteur lyonnais, c’est ’sans doute l’his­toire d’amour la plus vraie qu’il lui ait été donné de connaître’, croit savoir ’Gala’.

’Elle était trop jeune pour Pagny, pas assez « high » pour Kravitz, et, avec Depp, son amoureux et le père de ses deux enfants, Lily Rose, quinze ans, et Jack, douze ans, ils conser­vaient la barrière de la langue, de la natio­na­lité, de la carrière’, commente ’Gala’.

’Avec Biolay, au contraire, sa fusion est d’au­tant plus magique qu’en plus de se ressem­bler – même amour de la musique, mêmes origines sociales, même âge… – les insé­pa­rables trouvent la chance de s’of­frir une seconde jeunesse, celle-ci sans doute encore plus belle que la premiè­re’.