
Karine Le Marchand est affichée en d’un magazine people, qui la prétend faire face aux violences conjugales.
C’est un ouvrage qui s’annonce explosif. Le 7 mai prochain, Nicolas Bedos publie La Soif de honte aux éditions de l’observatoire. Condamné en 2024 pour agressions sexuelles, il avait déjà fait couler beaucoup d’encre.
Aujourd’hui, il revient sur le devant de la scène littéraire avec un livre où il se livre sans fard, abordant ses propres dérives et sa condamnation. Mais le plus saisissant réside dans une révélation intime, faite pour la toute première fois.
Dans les extraits dévoilés par le point, Nicolas Bedos se confie sans détour sur son passé tumultueux, qu’il qualifie de "descente aux enfers". Il y aborde notamment ses abus d’alcool et reconnaît ses erreurs. Celui qui a connu il y a peu les joies de paternité y dresse un "portrait brutal" de lui-même et revient sur le jugement rendu l’an dernier.
Concernant sa condamnation de 2024, il l’assume pleinement et ne cherche pas à se dérober : "Ce qui compte, c’est que j’ai fait du mal. Le plus souvent sans le vouloir, mais je l’ai fait (...) J’ai accepté ma peine. Je savais qu’en faisant appel, je ne gagnerais ni la paix ni la nuance", écrit-il, sans concession.
Cependant, au-delà de ce regard sans fard sur ses propres fautes, une confidence totalement inattendue surgit au cœur de l’ouvrage, révélant une blessure d’une profondeur insoupçonnée. Nicolas Bedos révèle avoir été lui-même victime d’un viol. Une agression d’une extrême violence qu’il n’avait jamais évoquée publiquement jusqu’à présent.
L’acteur explique avoir longtemps refusé de nommer explicitement ce qu’il a vécu, préférant employer le terme plus vague de "souffrance". Cette blessure, qu’il décrit comme profonde, a eu, selon lui, de nombreuses répercussions sur sa vie et sur ses comportements.
Attention cependant, Nicolas Bedos est clair : il ne s’agit pas ici de se servir de cette terrible expérience comme d’un "bouclier" ou d’une excuse pour ses propres dérives.
"Je ne dis pas : ’J’ai souffert, donc je suis excusé.’ Je dis : ’J’ai souffert, donc je comprends un peu mieux certaines de mes failles", a précisé celui qui aurait pris la décision de s’isoler depuis sa condamnation.
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