
Suite à la victoire du Nouveau Front Populaire, un remaniement gouvernemental est imminent, et un nouveau Premier ministre devrait être nommé par Emmanuel Macron.
Nicolas Bedos n’a décidément pas sa langue dans sa poche, et sa dernière sortie médiatique risque de faire grand bruit ! Il a chargé Léa Salamé.
Invité sur le plateau de Quelle Époque, l’émission de France 2, pour la promotion de son nouveau livre-confession, La soif de honte (Éditions de l’Observatoire), le réalisateur a visiblement vécu un moment si désagréable qu’il l’a comparé à son interpellation et sa garde à vue !
Des confidences explosives livrées lors d’un entretien accordé au Figaro ce mercredi 7 mai.
Le cinéaste, qui revenait dans son ouvrage sur les accusations d’agressions sexuelles pour lesquelles il a été condamné en octobre dernier, pensait sans doute maîtriser l’exercice de l’interview.
Si au début de son passage chez Léa Salamé, l’animatrice l’a couvert de félicitations, notamment pour son évolution supposée vis-à-vis du mouvement #MeToo, l’ambiance aurait rapidement tourné au vinaigre.
Au fil des questions, Nicolas Bedos, papa d’une petite Joséphine, s’est senti de plus en plus mal à l’aise, décrivant l’entretien comme une véritable épreuve, aux airs de "tribunal".
Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’a pas mâché ses mots pour qualifier cette expérience télévisuelle ! "L’interview m’a presque fait regretter la garde à vue. Les policiers sont beaucoup moins obtus", a-t-il ainsi balancé sans fard au Figaro.
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