Meghan Markle : son énorme clash avec une assistante de la reine

– par Nolwenn A. Dalpiva
Meghan Markle : son énorme clash avec une assistante de la reine

Dans son livre Les documents du palais : Au cœur de la maison Windsor - La vérité et les troubles, la biographe Tina Brown révèle une querelle survenue entre Meghan Markle et une assistante proche de la reine Elizabeth II, quelques jours avant son mariage avec le prince Harry.



Cet épisode a été exhumé dans le passé par The Sun.

À lire : Prince Harry et Meghan Markle : Bébé numéro 3 en route, la vérité enfin dévoilée

Comme le veut la tradition, les futures mariées de la famille royale choisissent un diadème dans l’impressionnante collection personnelle de la reine, qui conserve toujours le dernier mot.

En 2018, lors des préparatifs de son union avec le prince Harry, Meghan Markle aurait eu un véritable coup de cœur pour le Greville Emerald Kokoshnik, un bijou estimé à 15 millions d’euros.

À lire : Les clichés « honteux » de Meghan Markle face au drame de Charles III

Mais Angela Kelly, assistante personnelle et costumière de la souveraine depuis 1994, s’y serait fermement opposée.

Elle avait jugé son « origine russe » inappropriée.

Le refus aurait profondément irrit`é Meghan Markle, poussant le prince Harry à intervenir auprès de sa grand-mère. Mais lors d’une réunion, la reine Elizabeth II aurait sèchement rappelé à l’ordre son petit-fils : « Meghan ne peut pas avoir tout ce qu’elle veut. Elle aura le diadème que je lui donnerai », rapporte le Times. Quelques mois plus tard, c’est finalement la princesse Eugénie, cousine du prince Harry, qui portera le fameux diadème lors de son propre mariage.

Si un compromis a finalement été trouvé autour du Queen Mary’s Diamond Bandeau, le bijou porté par Meghan le jour de ses noces, la tension ne s’est pas apaisée pour autant. Selon Tina Brown, une nouvelle dispute aurait éclaté quand Angela Kelly a refusé d’accorder à Meghan l’accès au diadème pour des essais coiffure avant le grand jour.

Malgré l’insistance du prince Harry, la demande aurait été catégoriquement rejetée.

L’auteure rappelle que « le retrait d’une pièce historique du coffre-fort de Buckingham nécessite un ensemble d’autorisations strictes, incluant la signature du monarque et la présence du bijoutier de la Couronne ».

Reste une interrogation : ce refus provenait-il directement de la reine, ou seulement de la fermeté d’Angela Kelly ?