Line Renaud, la question posée par Brigitte Bardot à leur première rencontre ?

– par Nolwenn A. Dalpiva
Line Renaud, la question posée par Brigitte Bardot à leur première rencontre ?

On pensait Brigitte Bardot tirée d’affaire suite à son hospitalisation pour une grave maladie en octobre dernier. Mais il n’était rien malheureusement. L’icône de la cause animale a perdu la vie à l’âge de 91 ans. Une annonce qui fait déjà énormément réagir plusieurs personnalités dont Line Renaud, qui le connait depuis l’âge de 15 ans.



La première question que celle-ci lui a posée, elle n’a pas oubliée.

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Sur son compte Instagram, elle lui rend hommage. « Quel chagrin que la disparition de Brigitte Bardot », écrit l’artiste émérite sous le choc suite à sa disparition, occasion de rappeler une anecdote, celui de la première phrase prononcée par Brigitte Bardot à leur rencontre.

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« Nous nous connaissions depuis toujours, depuis notre lointaine jeunesse… Je la revois comme si c’était hier, elle devait avoir 15 ou 16 ans, et moi six de plus…. Notre ami le producteur Francis Cosne était venu nous rendre visite, chez nous à la Jonchère, nous venions d’acquérir ce terrain et de construire notre maison. Il était arrivé flanqué de deux jeunes femmes belles comme le jour, l’une était Marina Vlady, l’autre Brigitte Bardot », explique-t-elle sur ce réseau social.

Et de préciser que celle qui allait devenir une icône non seulement du cinéma, mais aussi de la cause animale était « incandescente, déjà fascinante ». Une question a été posée par Line Renaud, qui s’en rappelle comme si c’était hier.

« Et je n’ai jamais oublié sa question, si déconcertante dans la bouche d’une gamine : « ça vaut combien le mètre carré ici ? » », lui avait-elle demandé. « Brigitte était une vraie terrienne, elle avait toujours gardé le sens des réalités ».

« Nous nous sommes peu rencontrées au fil des années, elle avait arrêté le métier très tôt mais nous nous sommes toujours vues comme des sœurs de combat. Elle pour la défense des animaux, moi contre le Sida. Nous nous adressions des petits mots, nous donnions du courage. Il y a deux ou trois ans, nous nous sommes parlé au téléphone et avions évoqué les difficultés que nous rencontrions si souvent dans la conduite de nos engagements.

Malgré le poids des années, ni elle ni moi n’avions renoncé. Je suis loin de partager toutes ses convictions mais j’admirerai toujours la force avec laquelle elle a défendu les animaux - ils me sont également si chers », indique-t-elle.

Et à la complice de Brigitte Macron récemment honorée à Lille de conclure : « Toute ma tendresse vole vers elle ».