Une synchronisation qui, selon une experte royale britannique, n’a rien du hasard, d’après un média britannique.
Le communiqué du palais de Buckingham a précisé que le roi Charles III, âgé de 75 ans, serait opéré pour une "hypertrophie de la prostate" au cours de la semaine du 22 janvier.
L’annonce insistait sur la nature bénigne de la condition du monarque, qualifiant l’intervention de simple procédure corrective, tout en reportant temporairement ses engagements publics. Cependant, la question persiste : pourquoi divulguer ces informations de santé du roi si rapidement après l’annonce concernant la princesse Kate ?
Selon les analyses de Tessa Dunlop, historienne et experte royale, le choix de divulguer ces informations de santé était loin d’être anodin. Pour elle, il s’agissait d’une démarche claire visant à protéger sa belle-fille, Kate Middleton.
« Il est très inhabituel pour la famille royale de divulguer des questions de santé privée. À cet égard, le partage d’informations sur l’hypertrophie de la prostate du roi était sans précédent, mais il était également judicieux », a précisé cette spécialiste.
Selon l’experte, Buckingham Palace a orchestré cette communication pour détourner l’attention du public de l’opération abdominale de la princesse de Galles.
« Le moment choisi a permis de détourner l’attention de l’opération majeure de sa belle-fille, de même que les détails privés concernant sa prostate ont donné au public un autre sujet de réflexion ».