Giulia Sarkozy privée de visite à son père : une décision radicale pour la protéger de la prison !
C’est une épreuve familiale qui se poursuit pour le clan Sarkozy. Alors que l’ancien président est incarcéré à la prison de la Santé depuis plus de quinze jours, suite à sa condamnation à cinq ans ferme dans le dossier dit du financement libyen, sa plus jeune fille, Giulia Sarkozy, ne devrait pas lui rendre visite.
Une source proche du couple a confié qu’il s’agissait d’une décision prise pour la protéger.
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« Nicolas Sarkozy est logiquement réticent à l’idée que sa fille adolescente le voie dans de telles conditions », explique cette source au magazine Public. Une prison reste un « endroit hostile et inquiétant », surtout pour un mineur.
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La décision est difficile, mais l’entourage insiste sur la nécessité de préserver la jeune fille.
« N’importe quel parent se dirait que cela peut être traumatisant », a indiqué ce proche s’exprimant sous couvert d’anonymat.
De plus, Carla Bruni est une mère très protectrice. Elle est déjà « publiquement montée au créneau » pour défendre sa fille critiquée sur les réseaux, et aurait de « grosses réticences » concernant de telles rencontres.
Pourtant, cette séparation est une véritable épreuve pour l’adolescente de 14 ans. Elle se serait « effondrée » en apprenant le résultat du procès. Le 21 octobre, juste avant le départ de son père pour la prison, Giulia s’était réfugiée dans les bras de son grand frère, Jean, regardant le « patriarche quitter la maison familiale ».
Quelques instants plus tôt, son émotion était déjà palpable. Elle postait un selfie d’elle avec son père sur Instagram, avec le message : « Je t’aime à l’infini, tu es le plus fort des papas au monde ».
Malgré la douleur, le père et la fille ont toujours pris les décisions « main dans la main ».
Récemment, le JDD rapportait qu’en accueillant son père de retour du tribunal, elle s’était « jetée dans ses bras ». Les deux seraient restés serrés l’un contre l’autre jusqu’à ce que Nicolas Sarkozy lui dise : « Tu es une Sarkozy », incitant Giulia à « sécher fièrement ses larmes ».
L’ancien président a pourtant droit à trois parloirs par semaine, mais Giulia ne devrait « a priori pas faire partie de ses visites ».
