Nicolas Sarkozy : la phrase glissée par sa fille Giulia juste avant la prison !

– par Nolwenn A. Dalpiva
Nicolas Sarkozy : la phrase glissée par sa fille Giulia juste avant la prison !

Le 21 octobre 2025 restera une date sombre dans l’histoire politique, mais aussi dans la vie de la famille Sarkozy. Alors qu’il a franchi les portes de la prison de la Santé pour purger sa peine de cinq ans d’emprisonnement dans l’affaire du financement libyen, un moment d’intimité familial a précédé l’incarcération.



Et des précisions sont livrées à ce sujet par le magazine Paris Match, qui affiche l’ancien président de la République en sa Une.

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Juste avant ce « moment redouté », celui de son entrée au prison de la Santé, Nicolas Sarkozy a tenu à célébrer les 14 ans de sa fille Giulia, le dimanche 19 octobre. Selon Paris Match, la famille s’est réunie dans l’un des salons du prestigieux hôtel George V, à Paris.

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Autour de la table, l’ambiance était « décontractée, presque légère », avec la présence de Carla Bruni, des fils du président – Pierre, Jean et Louis Sarkozy –, de Giulia, d’Aurélien Enthoven et de Jessica Sebaoun.

Les rires et les conversations se sont mêlés, dans un effort commun pour « oublier » l’échéance. L’ancien président, lui, voulait « montrer qu’il tenait le choc, qu’on pouvait l’humilier, mais pas le briser physiquement ou moralement », selon un proche. Durant toute la soirée, la prison n’a « presque jamais été évoquée ».

C’est alors que Giulia, a glissé une phrase simple, mais « bouleversante », à l’oreille de son père : « Tu auras tout connu, papa ». Une remarque « d’une maturité désarmante, à la fois tendre et lucide ». Selon Paris Match, Nicolas Sarkozy n’a fait « aucun commentaire », mais « le regard a tout dit ».

Cette phrase a marqué les esprits, indique la publication. Au-delà du scandale judiciaire, c’est un père de famille qui s’apprêtaità être séparé des siens,, ce qui est, selon ses proches, le plus « insupportable » pour lui. Trois jours après cet anniversaire, l’ancien président a été incarcéré, refusant, dit-on, tout traitement de faveur pour sa cellule.