Sarah Knafo accusée de gaspillage, le coût de ses nuits d’hôtel avec Éric Zemmour pointé du doigt !
La fiancée d’Éric Zemmour », Sarah Knafo, se retrouve au cœur d’une vive polémique sur les réseaux sociaux suite à un tweet où elle dénonçait la pression fiscale en France. Ces propos faisaient suite aux critiques de la ministre déléguée chargée de l’Économie, Amélie Montchalin, qui la qualifiait de « libertarienne américaine rêvant d’un zéro impôt ».
La députée européenne, visée il y a quelques années par des rumeurs de grossesse, a riposté en affirmant que « au pays le plus taxé du monde, j’estime encore permis de prononcer le mot de ‘diminution’, sans le confondre avec ‘abolition’ ».
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Sarah Knafo dénonce ce qu’elle considère comme un niveau de prélèvements « qui frôle le vol », pointant les taxes sur la richesse nationale et les dépenses publiques jugées inutiles.
Ses propos ont suscité de nombreuses réactions en ligne, mais le débat a rapidement dévié vers un terrain plus personnel : les dépenses liées à sa vie conjugale et ses missions.
Plusieurs internautes ont attaqué Sarah Knafo sur les « frais de campagne européenne avec son chéri », l’accusant de dépenser l’argent public pour des séjours luxueux. Les commentaires se sont multipliés, ciblant notamment des nuits d’hôtel aux coûts exorbitants.
On peut lire des accusations précises comme : « 1500€ une nuit d hôtel sur Aix En Provence !!!! 1000 euros une nuit d hôtel à st Tropez... et je parle qu une goutte d’eau…. ». D’autres internautes ont renchéri, citant des articles de presse : « lemonde article du 19 avril 2023, canard enchainé 25 mars 2025 " les luxueuses européennes de Zemmour et knafo" !!!!!!!! ».
Les accusations se sont faites encore plus précises : « 852€ à la Grande motte la nuit, 921€ la nuit à Londres je me suis trompé pour st Tropez 2500€ la nuit ».
Un internaute a conclu, cinglant : « Elle parle de dilapider l’argent du contribuable donc 2500€ la nuit à st Tropez ça s appelle comment ».
L’eurodéputée se retrouve ainsi prise à partie sur la cohérence entre son discours de rigueur budgétaire et ses propres « dépenses ».
