
Le couple royal formé par le prince Harry et Meghan Markle fait à nouveau parler de lui, cette fois-ci pour des exigences spécifiques dévoilées dans des courriels.
Le prince Harry se retrouve au centre d’une nouvelle controverse, cette fois-ci liée à des menaces de mort émanant d’Al-Qaïda. La sécurité du duc de Sussex est de nouveau un sujet brûlant, ravivant les tensions avec la famille royale.
Selon Het Nieuwsblad relayées par Bunte, Al-Qaïda aurait appelé à s’en prendre au fils cadet du roi Charles. La raison derrière cette menace remonte à la période où le mari de Meghan Markle a été déployé en Afghanistan en 2007 et lors d’une deuxième mission entre septembre 2012 et janvier 2013. Dans son livre, « Le Suppléant », le prince révèle avoir tué 25 talibans au cours de ces opérations, des déclarations qui n’avaient pas été bien accueillies à l’époque par les forces talibanes.
Les récentes révélations vont plus loin, affirmant qu’un rapport de la sûreté de l’État allemand indiquerait que le prince Harry serait dans le viseur d’Al-Qaïda.
Les branches pakistanaise et afghane de l’organisation terroriste auraient publié un appel incitant les musulmans du monde entier à mener des attaques sanglantes contre "les croisés occidentaux et les sionistes", désignant clairement le prince Harry et les États-Unis comme cibles prioritaires.
« Exécuter le prince Harry est donc un objectif légitime », aurait déclaré Al-Qaïda dans ce document, selon les informations du Het Nieuwsblad. Ces menaces soulèvent des inquiétudes quant à la sécurité du prince et de sa famille, les plaçant potentiellement sous une pression accrue.
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