Les rumeurs sur l’état de santé de Carla Bruni ont suscité l’inquiétude des médias. Paris Hebdo s’était emparé de l’affaire en titrant sur une possible maladie dissimulée par la chanteuse et épouse de Nicolas Sarkozy.
D’après VSD, Nicolas Sarkozy n’aurait aucune intention de s’afficher avec François Fillon, candidat LR, à la présidence de la république.
L’ex président de la république était en effet très attendu au meeting parisien de son ex premier ministre, mais il n’a pas pointé le bout de son nez au grand regret de ses soutiens.
« Dans les travées, des militants regrettaient l’absence de Nicolas Sarkozy », rapporte l’hebdomadaire dans son numéro de cette semaine. Mais l’ancien chef d’Etat « n’a aucunement l’attention de s’afficher avec François Fillon ».
D’après Le Canard Enchainé cette fois, Nicolas Sarkozy estime François Fillon jaloux de sa popularité, raison pour laquelle il refuserait de l’inviter à l’un de ses meetings.
« J’ai fait ce que j’avais à faire. Ca va comme ça, et ça ira comme ça ! », explique l’ex chef de l’Etat, parlant de son soutien affiché à son ex premier ministre sur les réseaux sociaux.
Et de poursuivre : « Faire un meeting avec Fillon ? Mais il ne m’a rien demandé ».
« Et il n’en veut sûrement pas ! Pour la bonne raison qu’il a peur que je l’écrase à l’applaudimètre », a-t-il ajouté.
Dans un message publié sur Facebook, il avait en effet apporté son soutien à François Fillon, « le seul » à pouvoir « réussir l’alternance », appelant à voter pour le candidat de la droite en faisant fi des « hésitations » et des « états d’âme » liés à ses ennuis judiciaires.
« Au moment où prend fin un quinquennat marqué par l’échec économique, la perte d’autorité de l’Etat et l’affaiblissement de la France dans le monde », « nous avons besoin d’un plan de redressement puissant, cohérent et juste qui apporte des solutions au décrochage de la France et aux angoisses de millions de nos concitoyens », écrit sur Facebook l’ex chef d’Etat.
« A l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, chaque voix comptera », souligne Nicolas Sarkozy. « Tout doit être mis en oeuvre pour éviter aux Français de n’avoir le choix au second tour qu’entre deux aventures sans issue : celle d’une nouvelle illusion portée par un candidat dont la responsabilité dans les échecs économiques de l’actuel quinquennat est clairement établie ; l’autre alimentée par l’irresponsabilité et la démagogie qui conduirait à des conséquences catastrophiques
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