
Un mystérieux journal intime de Meghan Markle suscite l’inquiétude chez Kate Middleton, le Prince William et les autres membres de la famille royale.
Cinq ans après le Megxit, l’image de Meghan Markle aux États-Unis a subi un sérieux revers. Alors qu’elle avait initialement suscité l’enthousiasme en quittant la famille royale, une enquête de Vanity Fair met en lumière son comportement envers ses employés.
Selon le magazine, les relations de la duchesse de Sussex avec son personnel suivraient un schéma récurrent : une phase initiale chaleureuse et enthousiaste, créant une atmosphère de camaraderie professionnelle, suivie d’une attitude froide et distante à la moindre contrariété, Meghan Markle jugeant alors son interlocuteur responsable de tous les problèmes.
De nombreuses personnes ayant travaillé sur ses différents projets ces dernières années en auraient souffert.
« C’est vraiment, vraiment, vraimenthorrible et très douloureux », confie un ancien collaborateur.
« Lorsque vous n’êtes plus en odeur de sainteté, elle peut vous jeter aux loups à tout moment. » Concrètement, il s’agirait d’un travail de sape, avec des critiques et des dénigrements en coulisses, un comportement qualifié d’« ado dans Lolita malgré moi, vraiment ! » par cette même source.
Un autre ancien employé, ayant travaillé sur le podcast Archetypes lancé par la duchesse en 2022, révèle que plusieurs de ses collègues auraient eu besoin d’une « thérapie à long terme » après avoir fait partie de son équipe, tant ils ont souffert de son attitude.
Ce n’est d’ailleurs pas la première fois que le comportement de Meghan Markle fait l’objet de critiques. En 2021, elle avait été accusée de harcèlement par d’anciens employés de Kensington Palace.
En septembre 2024, le Hollywood Reporter avait recueilli les témoignages de plusieurs collaborateurs ayant démissionné à cause de la duchesse, la décrivant comme « une dictatrice en talons hauts » qui « donne des ordres en aboyant ». Des allégations que Meghan Markle avait qualifiées de « fabriquées » par Buckingham Palace pour lui nuire.
« Elle aurait meilleure presse si elle admettait ses torts ou la façon dont elle a contribué à créer certaines situations plutôt que de se draper dans son récit victimaire », déplore un témoin dans Vanity Fair.
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