Meghan Markle refuse d’aider son père
L’ambiance est loin d’être aux réjouissances familiales chez les Sussex. Alors que son programme sur l’art de vivre à Noël cartonne sur Netflix, Meghan Markle semble avoir définitivement verrouillé son cœur — et son portefeuille — face à la détresse de son père.
À 81 ans, Thomas Markle a subi une épreuve terrible : admis en urgence à l’hôpital pour un caillot de sang, l’ancien directeur de la photographie a dû être amputé d’une jambe.
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Installé aux Philippines, le vieil homme ne bénéficie d’aucune protection sociale.
Devant l’accumulation des dettes médicales, une amie de son fils a été contrainte d’ouvrir une cagnotte sur le site GoFundMe pour éviter le naufrage financier.
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Selon les révélations du Mirror, la solidarité s’organise péniblement, avec des dons avoisinant pour l’instant les 4 000 euros. Un soulagement relatif pour le frère de Meghan, qui souligne que si les soins sont moins onéreux qu’aux États-Unis, la facture totale devrait tout de même atteindre les 20 000 euros.
Ce dernier ne cache pas son amertume face à l’indifférence de sa sœur, rappelant que leur père a jadis tout financé pour elle, de ses « écoles privées » à ses « voyages ». « J’étais presque prêt à dire à mon père qu’il me faudrait vendre un rein pour l’aider », confie-t-il, déplorant que la seule personne capable de « faire une réelle différence » ne lève pas le petit doigt.
Sur la Toile, le contraste entre la fortune de la Duchesse — détentrice d’un contrat de 75 millions d’euros avec le géant du streaming — et la précarité de son géniteur ne passe pas.
Les critiques fusent, certains qualifiant son attitude de « honteux » ou de « consternant », s’interrogeant sur ce qu’ils perçoivent comme de la « pingrerie ».
L’ironie atteint son paroxysme alors que Meghan Markle vient de diffuser sa carte de vœux ainsi qu’une rétrospective des actions caritatives de sa fondation pour l’année 2025.
Pour ses détracteurs, voir la Duchesse célébrer ses engagements humanitaires pendant que son père « peine toujours à réunir la somme » nécessaire à sa survie est la preuve que l’hôpital se fout de la charité.
