Cette confidence, le président de la république l’a faite lui-même devant les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme pour les besoins de leur livre, « Un président ne devrait pas dire ça », qui sort ce 13 octobre.
Il explique que la comédienne et productrice de 44 ans souffre d’être dans l’ombre.
« Elle souffre de cette situation, avoue le chef de l’Etat dont la relation avec Julie Gayet avait été révélée il y a trois ans par le magazine « Closer ».
« Elle est demandeuse de le faire. Ça brûle », glisse le président de la république.
François Hollande parle de sa compagne comme d’une « belle femme » et d’une « fille bien ».
Le chef de l’Etat n’aurait pas pour objectif d’officialiser sa relation avec Julie Gayet, affirmait son fils Thomas Hollande dans les pages de « Conversations privées avec le président », écrit par le duo Karim Rissouli et Antonin André.
Interrogé sur l’éventualité que le chef de l’Etat officialise cette idylle en 2017, à l’occasion de la campagne présidentielle, le jeune avocat prétendait que son père a adopté une posture radicalement différente.
« Il ne sera pas un président en couple qui fait campagne, glisse-t-il. Ce célibat revendiqué, il en fera même un axe de campagne : « Moi, je suis dédié totalement à la fonction. Je suis totalement consacré à ma mission ».
Thomas Hollande explique par ailleurs que le célibat du président de la république change énormément de choses.
« Il n’y a pas de pression, pas d’obligation. Il n’a pas de comptes à rendre, pas quelqu’un dont il doit s’occuper. Il ne veut plus de contraintes autres que celles de sa fonction », explique le jeune avocat.
« Dans les voyages officiels, au-delà de la personnalité de Valérie, il devait gérer énormément de contraintes liées au programme de la première dame. Lui souhaitait se consacrer pleinement à la politique et on le ramenait sans arrêt à ce qu’elle faisait », a lâché le fils du président de la République.