Jean-Michel Aphatie : sa pique sur Donald Trump et Mohammed Ben Salman choque

– par Nora Semlali
Jean-Michel Aphatie : sa pique sur Donald Trump et Mohammed Ben Salman choque

Lors de l’émission Quotidien, diffusée sur TMC et animée par Yann Barthès, Jean-Michel Aphatie s’est illustré par une déclaration controversée à propos de Donald Trump… et de l’Arabie saoudite. L’ancien président américain était en visite officielle à Riyad, où il a été accueilli par le prince héritier, Mohammed Ben Salman.



Comme à son habitude, le journaliste, qui a récemment pris à partie Brigitte Macron, n’a pas mâché ses mots. Une remarque lancée sur le ton de l’ironie a particulièrement fait réagir les internautes.

Selon lui, le dirigeant saoudien « mériterait un petit coup de fouet » pour un choix musical.

Jean-Michel Aphatie a d’abord replacé le contexte :

« Mohammed Ben Salman, qui dirige l’Arabie saoudite, a assisté hier soir, à Riyad, au discours de Donald Trump, actuellement en visite là-bas », a-t-il introduit, avant d’enchaîner :

« Ensuite, il a rejoint Donald Trump sur l’estrade. L’image que vous allez voir est inédite, non pas par sa forme, mais par la musique qu’on y entend. »

Ce qui a étonné Jean-Michel Aphatie, c’est le choix musical surprenant dans un pays ultra-conservateur : « Ils ont mis I Am What I Am [NDLR : il s’agit vraisemblablement d’une confusion avec Y.M.C.A. des Village People]. Les Village People à Riyad, à mon avis, c’est une première historique. Certains ont dû se demander ce qu’il se passait », a-t-il ironisé.

Puis, dans une envolée un brin provocatrice, celui qui s’en prenait il y a peu à Cyril Hanouna est allé de sa pique.

« Je crois qu’il mériterait bien… un petit coup de fouet, Mohammed Ben Salman. J’ai hésité à la faire, et puis je me suis dit : je vais la faire. »

Une sortie qui a fait tiquer de nombreux téléspectateurs, certains dénonçant une plaisanterie déplacée, d’autant plus dans un contexte diplomatique tendu et face à un régime régulièrement critiqué pour ses atteintes aux droits humains.