Charlène de Monaco, amère humiliation, ses rivales refont surface
Un sourire crispé, une élégance éclatante mais une douleur palpable… Charlène de Monaco a une nouvelle fois dû affronter une situation qu’aucune femme ne souhaiterait vivre.
Et cet épisode remontant à quelques mois est exhumé par l’édition allemande de In Touch.
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C’était à l’occasion du Grand Prix de Monaco, un événement incontournable de la Principauté, la première dame monégasque a été contrainte de croiser les anciennes compagnes du prince Albert.
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Dans une sublime robe rouge, elle affichait une allure souveraine, tandis que le prince Albert, visiblement tendu, tentait de désamorcer la gêne en lui glissant quelques mots à l’oreille.
Mais le malaise était palpable. Comment pourrait-il en être autrement ? « Voir sans cesse resurgir le passé sentimental » de son mari est une épreuve, et « Charlène doit la supporter en public ».
Ce jour-là, deux figures bien connues ont attiré l’attention. Nicole Coste, ex du souverain et mère de son fils Alexandre, 21 ans, est apparue plus sûre d’elle que jamais.
À ses côtés, le jeune homme a marqué les esprits, rappelant à tous qu’il est le fils biologique d’Albert.
Quant au mannequin suédois Victoria Silvstedt, autre femme liée autrefois au prince, elle a attiré les regards dans une robe scintillante au décolleté vertigineux, précise le média allemand.
Pour In Touch, il s’agit sans doute là d’une double humiliation pour Charlène de Monaco, contrainte de composer avec ces présences encombrantes.
Derrière les sourires de façade, une question demeure : pourquoi Albert expose-t-il ainsi son épouse à ses anciennes relations ? D’autant que Nicole Coste n’a jamais caché son mépris pour Charlène,déclarant un jour froidement : « Je me fiche de ce qui lui arrive. Pourquoi devrais-je ? Tout ce qui lui arrive est le karma. »
Aujourd’hui, Charlène n’est plus la femme effacée qu’elle a pu être. Plus affirmée, plus déterminée, elle semble prête à défendre sa place et son image. Mais si Albert ne prend pas davantage soin de la protéger, il n’est pas exclu que la princesse finisse par tirer ses propres conclusions… et elles risqueraient de faire grand bruit, prédit la publication.
