Caroline et Albert de Monaco, à deux doigts de « la ruine »

Caroline de Monaco, et son frère Albert, et sa soeur Stéphanie, seraient sans doute ’sans le sous’, si leur père, le regretté Rainier, ne s’était pas lancé dans des investissements courageux.
Comme le rappelle ’l’Express’, à son accession au trône dans les années 50’ pour succéder à son grand-père, il n’avait pas un sou. Ses fins de mois étaient difficiles. Les officiers n’étaient pas sûrs d’être payés.
’Louis II a légué ce qui reste de la fortune familiale, qui a fondu comme neige au soleil, à une actrice épousée tardivement. Et le jeune prince règne sur un caillou certes installé dans un endroit superbe, mais qui n’est pas encore la place financière off-shore où se pressent les grandes fortunes’, rapporte le magazine l’Express.
Et ce n’était pas évident à l’époque. Le rêve des riches s’étaient de se cacher.
Pas question d’étaler leur fortune aux yeux du monde.
« Au sortir de la guerre, ceux qui avaient de l’argent n’avaient pas spécialement envie de le montrer », raconte par ailleurs Frédéric Laurent, auteur de l’ouvrage ’Le prince sur son rocher’.
Quand le prince Rainer avait demandé la main de Grace Kelly, la mère de Caroline de Monaco , il était allé jusqu’à ’marchander la dot avec son futur beau-père’. Ce dernier était promoteur immobilier.
’Il obtiendra finalement 1 million de dollars (sur les 2 escomptés)’, indique la publication.