Carla Bruni-Sarkozy - A l’Elysée, elle était comme une prisonnière

– par Christophe Wiedemann
Carla Bruni-Sarkozy - A l'Elysée, elle était comme une prisonnière

D’après VSD, Carla Bruni ne s’était vraiment jamais installée à l’Elysée, où elle se sentait prisonnière qu’elle n’hésitait pas à quitter dès qu’elle pouvait.



L’ex première dame toujours en pleine promotion de son nouvel album avait en effet joué le jeu pour « les représentations officielles ».

Mais elle préférait « sa maison de la villa Montmorency, dans le 16ème arrondissement de Paris », indique l’hebdomadaire qui offre sa une de cette semaine à Brigitte Macron, qui semble déjà très à l’aise au palais.

Il faut dire qu’elle est bien plus solli­ci­tée par les Français que Carla Bruni et Valé­rie Trier­wei­ler , auxquelles elle a succédé en tant que première dame.

D’après le Pari­sien qui a recueilli les confidences de Pierre-Olivier Costa, son direc­teur de cabi­net, qui gère le cour­rier qui lui est destiné, la première dame a beaucoup de succès depuis son arrivée au château.

« Le volume du cour­rier est une petite surprise. A titre de compa­rai­son, Carla [Bruni, NDLR] en rece­vait quoti­dien­ne­ment une tren­taine et Valé­rie [Trier­wei­ler, NDLR], entre quinze et vingt. », explique-t-il.

Et de préciser ensuite que l’épouse d’Emmanuel Macron devance ses prédé­ces­seures, avec envi­ron 200 lettres et emails reçus chaque jour.

Il est rappelé à cette occasion aussi, que contrai­re­ment à Carla Bruni et Valé­rie Trier­wei­ler, Brigitte Macron peut agir dans le cadre légal mis en place par son mari.
La première dame sera donc désor­mais en mesure de s’in­ves­tir au-delà de la figu­ra­tion au côté du chef de l’Etat.