« Très émue, les courriers envoyés par quatre jeunes filles atteintes de boulimie et ou d’anorexie », la première dame, qui a passé le week-end à Amiens, son fief, a pris la décision de le recevoir, au même moment que le thérapeute, le docteur Edouard Carrier, à l’Elysée.
Mais cette rencontre n’avait pas été médiatisée pour épargner les jeunes filles. D’ailleurs, son agenda, l’ex professeure de lettres ne précise pas sur le site officiel de l’Elysée qu’a posteriori pour mener son engagement en toute discrétion.
L’hebdomadaire people précise que deux ans plus tard, l’épouse d’Emmanuel Macron, la conseillère de l’ombre du chef de l’Etat, a accueilli les amis de ses premières invitées à visiter le palais présidentiel.
Une table ronde sur la boulimie et l’anorexie, des troubles se caractérisant, par le refus permanent et obsessionnel d’absorber des aliments, a par ailleurs été organisée.
Une campagne d’information serait par ailleurs envisagée.