
Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, a pris position afin de protéger Ruth Elkrief, la journaliste de LCI, suite au tweet de Jean-Luc Mélenchon, le patron de la France Insoumise.
Yann Moix, le chroniqueur de Laurent Ruquier a tiré à boulets rouges sur Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France insoumise, auquel il reproche de ne pas avoir donné de consignes claires pour le deuxième tour de l’élection présidentielle.
« Il a une responsabilité politique énorme, a-t-il expliqué. Si Marine Le Pen passait, il aurait à rendre des comptes sur cette élection. Ce n’est pas parce qu’on est l’ennemi de la xénophobie et du fascisme, ce qui est son cas, et l’ennemi des antisémites et de l’extrême droite ce qui est son cas, qu’on est un démocrate pour autant. Il nous a prouvé qu’il n’était ni démocrate, ni républicain ».
« On l’a toujours bien reçu ici, il avait fait preuve d’une certaine finesse, d’un certain sens de la République et d’un certain sens de l’Etat. On s’aperçoit que c’était un petit dictateur de carton-pâte ! », a en outre lancé le sniper de ONPC.
« Je suis heureux qu’il ait échoué aussi près du but parce que c’est le signe d’un homme blessé, vexé, humilié par sa défaite. C’est vraiment indigne de tout ce que j’imaginais sur lui, a conclu le chroniqueur.
Et dès le lendemain sur TF1, Jean-Luc Mélenchon, qui semblait avoir écouté les critiques, a mis en garde ses électeurs contre la « terrible erreur » que représenterait un vote en faveur du Front national.
« Il n’y a pas d’ambiguïté dans ma position (…) Je ne voterai pas Front national, je combats le Front national. Et je dis à tous ceux qui m’écoutent : ne faites pas la terrible erreur de mettre un bulletin de vote pour le Front national car vous pousseriez le pays à un embrasement général dont personne ne voit le bout », a déclaré le candidat de la France insoumise.
Ces articles devraient vous intéresser :