
C’est une histoire d’amour qui vire au drame pour Maeva Ghennam, la flamboyante star des Marseillais. Engagée dans une relation avec un homme incarcéré, la jeune femme a vécu un coup dur en découvrant qu’il l’avait trompée derrière les barreaux.
Une enquête menée par Charlotte Belaïch et Olivier Pérou, et dévoilée dans leur livre La Meute [éd. Flammarion], paru le 7 mai dernier, révèle un Jean-Luc Mélenchon métamorphosé. Il a perdu une dizaine de kilos après une terrible rupture avec la mère de sa fille.
L’homme politique, qui serait désormais en couple avec Sophia Chikirou, aurait opéré un changement radical à la suite d’une rupture amoureuse.
Cette séparation a eu des conséquences sur sa santé et son mode de vie.
Charlotte Belaïch et Olivier Pérou ont consacré deux ans à enquêter sur Jean-Luc Mélenchon et le mouvement de la France Insoumise. Les journalistes ont consigné leurs découvertes sur le « système Mélenchon » dans La Meute.
Ils y abordent notamment sa rupture avec Pascale Le Néouannic en 2002, un événement qui a profondément marqué sa vie.
« En ce début des années 2000, à 50 ans, il se retrouve seul, déprimé », écrivent les auteurs. Ils expliquent que l’absence de figures politiques comme François Mitterrand et Lionel Jospin a également joué un rôle dans cette période difficile pour lui.
C’est à ce moment précis que Jean-Luc Mélenchon dont le numéro de téléphone a été dévoilé il y a peu, a décidé que c’était « son tour » de passer au premier plan. « Peu le savent encore, mais il a décidé : il sera bientôt candidat à la présidentielle.
Et puisque l’image compte en politique, il se remet sur pied, se fait refaire les dents et perd 10 kilos », poursuivent les journalistes. Ils ajoutent : « Il se reconstruit, arrête de fumer et se décide à prendre le métro. Après avoir répété qu’un peu de rondeurs rassurait les électeurs, cet homme soucieux de son image commence à enchaîner les régimes ».
À l’époque, alors qu’il était ministre délégué à l’Enseignement professionnel, il a « désespéré le cuisinier » pendant sa période « glucide », car celui-ci devait préparer « des pâtes, uniquement des pâtes, rien que des pâtes ».
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