
Kate Middleton a annoncé une étape importante dans son combat contre la maladie : elle a terminé sa chimiothérapie. Cependant, le chemin vers un rétablissement complet reste encore long et incertain.
Le prince William a été confronté à un véritable cauchemar l’an dernier, après que son épouse, Kate Middleton a été diagnostiquée avec un cancer. Il avait même envisagé ses funérailles.
L’année 2024 fut sans doute l’une des plus ardues pour la princesse de Galles ! Après avoir révélé son cancer au monde entier, la maman de George a mené un long combat contre la maladie.
Cette épreuve aurait contraint le Prince William à envisager l’inimaginable : planifier les funérailles de son épouse, comme le rapporte Bertrand Deckers dans son nouvel ouvrage, « Kate, le jour où… », à paraître aux éditions Fayard le 11 juin prochain.
En mars 2024, suite à l’annonce du cancer de Kate Middleton, l’héritier du trône britannique aurait en effet dû envisager tous les scénarios possibles, y compris le plus sombre. Il aurait même contemplé l’éventualité où son épouse ne gagnerait pas sa bataille contre le terrible crabe.
Le type de cancer auquel elle a fait face n’a pas été précisé. Il se pourrait que ce soit celui des ovaires et de celui de l’utérus.
Un soir, comme le relaye Gala, l’expert de la royauté a reçu une information pour le moins troublante.
« Breaking news à te communiquer : nom de code vient d’être attribué par Buckingham Palace pour préparation funérailles de Kate, au cas où... ».
Cela faisait alors un mois que la belle-fille de Charles III, âgée de 42 ans, avait annoncé son cancer dans une vidéo. Bien que visiblement fatiguée, Kate Middleton s’était pourtant montrée optimiste quant à ses chances de guérison, loin de songer à ses propres obsèques !
Deux heures après ce message aussi important qu’inquiétant, Bertrand Deckers aurait reçu le nom de code choisi pour ce funeste événement : « O.R.B. : Operation Reading Bridge. Choix de William ! ».
La signification de cette appellation serait hautement symbolique, indique le spécialistes des têtes couronnées, qui explique que « Reading » fait référence à la ville du Berkshire où est née la princesse de Galles.
La contraction de ce nom de code, « O.R.B. », désignerait l’un des joyaux les plus symboliques de la Tour de Londres, le globe surmonté d’une croix [l’orbe crucigère], représentation de la Terre dominée par Dieu, qui est posée dans la main gauche de tout souverain le jour de son couronnement.
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