Le prince Harry est-il un consommateur de drogue ? Les États-Unis gardent le mystère quant à sa réponse dans sa demande de visa.
Les États-Unis refusent de dévoiler les réponses fournies par le prince Harry lors de sa demande de visa, malgré les appels de la Heritage Foundation qui souhaite éclaircir la position du prince sur la consommation de drogues, suite à ses révélations dans ses mémoires.
D’après une information révélée par BFM TV, le ministère américain de la Sécurité intérieure s’obstine à garder le silence.
Les secrets du prince Harry resteront soigneusement préservés, et cela malgré les pressions exercées par la Heritage Foundation, un groupe de réflexion conservateur américain.
Le département de la Sécurité intérieure a en effet pris la décision radicale de ne pas divulguer les informations fournies par le prince Harry dans sa demande de visa.
La curiosité de ce groupe se concentrait particulièrement sur les réponses du prince concernant l’usage de substances illicites, compte tenu de ses confessions antérieures sur sa consommation de drogue dans ses mémoires, « Le Suppléant ».
Cependant, le ministère américain a défendu le droit à la vie privée du prince Harry en tant que personnalité publique, refusant de céder aux demandes d’éclaircissements.
Le média The Express affirmait de son côté que Meghan Markle disposait d’un excellent réseau à la Maison Blanche, et que les secrets de son mari avaient peu de chance d’être dévoilées. Le Palais aurait aussi mobilisé ses réseaux.
Dans ses mémoires publiées en janvier 2023, le prince a confessé avoir consommé de la cocaïne et avoir expérimenté les champignons hallucinogènes lors d’une visite chez l’actrice Courteney Cox en Californie. Cependant, ces révélations ne semblent pas avoir satisfait la curiosité insatiable de la Heritage Foundation. Pour l’instant, le droit à la vie privée du prince Harry prévaut sur leur quête d’informations.