Le mari de Meghan Markle ne transige pas sur sa sécurité et celle des siens.
Lors d’un séjour à New York avec son épouse, et sa belle-mère, Doria Ragland, le couple a été pris en chasse par des photographes.
Une course-poursuite, qualifiée de "presque catastrophique" par un porte-parole du prince, a eu lieu, les paparazzi se montrant « très agressifs », rappelle In Touch.
Suite à cet incident, le prince aurait insisté auprès de la police de New York afin que l’enquête soit menée rapidement. Il se serait ensuite montré critique envers les enquêteurs.
Sa société de sécurité aurait même adressé une lettre à la police de New York. Il reprocherait à la police de New York de le prendre pour un menteur, et de minimiser les risques liées à sa sécurité.
Pour tenir ce propos, le duc du Sussex se base sur des lettres adressées par John Hart, haut responsable du renseignement du NYPD, à la police de Londres.
Dans la première, ce responsable américain avait conclu « que le comportement en question était imprudent ». Cependant, les preuves étaient jugées insuffisantes pour procéder à des arrestations.
Trois mois plus tard, une seconde lettre de Hart affirmait qu’il existait désormais « suffisamment de preuves pour arrêter deux individus accusés de mise en danger par inadvertance ». Pourtant, aucune arrestation n’a eu lieu.
Cette situation a visiblement mis le prince Harry hors de lui. Il aurait même sollicité le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, afin qu’il contacte les procureurs de New York.
Le fils de Charles serait même allé de sa menace, se disant prêt à porter l’affaire à un niveau supérieur si « nécessaire ».
Sa société de sécurité a également été chargée d’écrire une lettre à la police.
« Chef Hart, j’écris au nom du duc de Sussex car il a demandé que certaines questions soient réglées d’ici ce vendredi concernant l’incident de mai de l’année dernière à New York avant déposer une plainte officielle auprès du bureau du procureur du district de Manhattan. », est-il indiqué dans ce courrier.