Pourquoi Kate Middleton a osé refuser un Noël à Sandringham ?
Si Kate Middleton a su forger une telle admiration auprès du public, c’est avant tout grâce à un caractère bien trempé et une dignité que rien ne semble pouvoir ébranler. Cette force intérieure, qui lui aurait permis de se remettre aujourd’hui du cancer, n’est pas une nouveauté : elle est le socle de son identité depuis toujours.
Dès ses premières années aux côtés du prince William, celle qui n’était alors qu’une jeune roturière avait déjà imposé ses conditions, refusant de se brader ou de sacrifier ses principes pour intégrer la Firme.
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En 2006, alors que le couple traversait sa cinquième année de relation sérieuse, Kate Middleton a osé l’impensable : dire "non" à une proposition pourtant historique de la Reine Elizabeth II.
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L’épisode, rapporté par l’historien Robert Lacey dans son ouvrage (Battle of Brothers), révèle une facette fascinante de la future souveraine.
Invitée par William à rejoindre la famille royale pour le traditionnel déjeunerde Noël à Sandringham,, la future reine consort a décliné l’offre avec une assurance déconcertante.
Bien que c’était la première fois que la souveraine ouvrait ses portes à une « petite amie » non officielle, la jeune femme avait une vision très précise de sa valeur.
Elle ne se rendrait au cœur du domaine royal pour les fêtes qu’une fois qu’elle serait officiellement fiancée et qu’elle porterait « une bague pour le prouver ». Pour elle, intégrer un cercle familial aussi prestigieux et complexe exigeait un engagement formel et définitif.
Comme le souligne Radar Online, cette exigence, perçue par certains comme une demande irrévérencieuse, était en réalité le signe d’une immense confiance en soi. Selon une source proche du palais, Kate souhaitait obtenir de la « certitude » avant de franchir ce pas symbolique. « Kate tenait à établir ses propres limites », explique ce proche. Et de confirmant ensuite son désir d’être traitée comme une partenaire sérieuse et respectée.
Cette intransigeance salutaire, qui lui a permis de ne jamais se perdre dans les protocoles, est sans doute la clé de sa longévité à la Cour. Aujourd’hui, cette même force de caractère semble l’avoir aidée à traverser la tempête de la maladie pour revenir plus rayonnante que jamais sur le devant de la scène.