Kate Middleton : ce jour où elle a dit « non » à la Reine pour sauver sa dignité avant le mariage !

– par Nolwenn A. Dalpiva
Kate Middleton : ce jour où elle a dit « non » à la Reine pour sauver sa dignité avant le mariage !

Derrière le sourire imperturbable de Kate Middleton se cache une femme de poigne qui n’a jamais eu peur de tenir tête à l’institution. Alors que le monde entier imagine les fêtes royales à (Sandringham) comme le summum du prestige, la jeune Kate, alors âgée de 24 ans, a un jour osé l’impensable : décliner l’invitation de la Reine.



Nous sommes en 2006, et le couple fréquente les bancs de l’université et les soirées londoniennes depuis près de cinq ans. Pourtant, malgré la solidité de leur idylle, Kate Middleton a formulé une exigence que certains pourraient qualifier d’audacieuse, voire d’irrévérencieuse, à son petit ami de l’époque.

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Selon l’historien royal Robert Lacey dans son ouvrage, Battle of Brothers, elle a été très claire : pas de déjeuner de Noël officiel sans un engagement formel.

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Cette décision, révélée par RadarOnline, montre une facette méconnue de la maman de trois enfants.

À l’époque, la Reine Elizabeth II avait pourtant fait un geste exceptionnel en invitant pour la toute première fois une « petite amie » non officielle à la table royale.

Mais pour Kate Middleton, cette rupture avec la tradition ne suffisait pas. Sa vision était limpide : elle n’accepterait de franchir le seuil de Sandringham le jour de Noël qu’une fois qu’elle serait officiellement fiancée et qu’elle arborerait « une bague pour le prouver ». Pour elle, s’afficher au cœur de la famille royale sans la certitude d’un futur commun était une limite qu’elle refusait de franchir.

Une source proche du palais confirme que cette position n’était pas un simple caprice, mais le reflet d’une profonde confiance en soi. « Kate tenait à établir ses propres limites », explique ce proche soulignant son besoin d’être traitée comme une partenaire sérieuse.

Dans un contexte de surveillance constante et de pression médiatique autour de l’ordre de succession, elle a choisi la voie du respect plutôt que celle de la soumission aux protocoles. En exigeant cette « certitude » avant d’intégrer un environnement familial aussi imposant, elle a posé les bases de son futur rôle de Reine consort : une femme qui sait ce qu’elle veut et qui n’a pas besoin de couronne pour se faire respecter.