Leurs relations semblent s’être apaisées ces derniers temps, sur ordre du prince Albert, croit savoir le média allemand 7 Tage.
Les tensions entre les deux femmes n’ont jamais été un secret et continuent d’alimenter les discussions, comme l’a d’ailleurs récemment rappelé un reportage diffusé sur C8, intitulé Monaco, la saga des Grimaldi.
Ce documentaire était revenu sur la rivalité entre Charlène et Caroline.
Selon Pierrick Geais, journaliste qui officie à la rédaction de Vanity Fair, Charlène et Caroline de Monaco sont deux femmes aux personnalités opposées. Et parfois, il y a des petits clashs.
« Charlène c’est la princesse rebelle, celle qui ne veut pas rentrer dans le moule, qui veut s’affranchir du carcan princier », explique-t-il.
Caroline, de son côté, incarne l’Altesse parfaite, toujours dans les clous et faisant la fierté de son père, le prince Rainier III. Cette différence de tempérament aurait contribué à creuser un fossé entre elles dès les débuts de Charlene au sein de la famille Grimaldi.
La princesse de Hanovre, qui est souvent perçue comme une figure centrale au sein de la principauté, n’a pas vu d’un bon œil l’arrivée de Charlène. A ses yeux, c’était une rivale. Pas question de lui céder un pouce de terrain. Une jalousie profonde ? Peut-être bien.
« Caroline, fille et petite-fille de souverains, a très vite compris que ce ne serait pas simple pour Charlène de s’adapter à son rôle de princesse », précise Pierrick Geais.
Un rôle d’autant plus difficile à assumer pour Charlène, qui n’a jamais maîtrisé le français, la langue officielle de Monaco, ni appris à naviguer avec aisance dans le monde médiatique.
Bertrand Deckers, spécialiste des têtes couronnées, qui intervient parfois dans TPMP, ajoute que la mère de Charlotte Casiraghi aurait eu des réticences face à la personnalité de Charlène.
L’exposition médiatique de cette dernière aurait également été mal vécue, et son incapacité à se conformer aux attentes protocolaires aurait renforcé les tensions entre les deux femmes.