L’hebdomadaire publie pour l’occasion des photos des intéressés sortant des bureaux de la police judiciaire.
’Tous les chroniqueurs auditionnés ont dû répondre aux mêmes questions : quel était l’état d’esprit de Nabilla le jour du drame. Avaient-ils déjà remarqué des blues ou des marques sur la jeune femme ?’, commente notamment ’Closer’ dont le propos est confirmé par Thierry Moreau, le patron de rédaction de ’Télé 7 Jours’.
Le complice de Nabilla dans ’Touche pas à mon poste’ confie avoir été entendu par les enquêteurs au sujet de Nabilla.
« J’ai été convoqué au SDPJ 92 de Nanterre (Sous-Direction de la Police Judiciaire, ndlr) le 27 novembre dernier. Il s’agissait d’une procédure classique, dans le cadre de l’enquête » a-t-il expliqué.
Il précise que les enquêteurs visaient « à reconstituer le fil des événements ayant conduit à l’affaire », et lui ont demandé de décrire « dans quel état d’esprit se trouvait Nabilla le 6 novembre, quelques heures avant le drame, et plus généralement comme elle était au quotidien hors-antenne ».
Les policiers s’intéressaient surtout à l’ambiance qui régnait sur le plateau de D8, et ont demandé « quels étaient les rapports que nous entretenions avec Nabilla ».
L’audition a duré « environ une heure », explique-il.