Dans ses mémoires, « Le Suppléants », le duc du Sussex, qui serait attendu à Londres sans son épouse pour le couronnement du roi Charles, était dans un état second à la naissance de sa petite Lilibet. Il était sous l’emprise de la drogue.
Il souvient avoir commandé « du poulet frit » avant de se « défroncer au gaz hilarant ».
« J’ai pris plusieurs coups », avait-il reconnu. Et quand Meghan Markle en avait besoin, il a simplement dit qu’il y en avait plus.
Et à en croire le magazine In Touch, il serait sommé de suivre une cure afin d’en finir d’une présumée addiction. Ses confidences lui auraient attiré les foudres de la direction de protection de la jeunesse américaine. Il pourrait représenter un danger pour ses enfants.
Le second fil du roi Charles aurait été admis en catimini au Betty Ford Center, un centre de désintoxication pour toxicomanes situé à Rancho Mirage, en Californie.
Il a été cofondé par l’ancienne Première dame des États-Unis, Betty Ford et Leonard Firestone, en 1982.
« Avec un sevrage dans la clinique renommée, Harry devrait maintenant apparemment prouver que malgré tout, il peut être un père responsable pour ses deux enfants », a indiqué la publication.