Meghan Markle et Harry : licenciements massifs et zones d’ombre financières chez Archewell
Rien ne va plus pour le duc et la duchesse de Sussex. Alors que les fêtes de fin d’année devraient être synonymes de générosité, le prince Harry et Meghan Markle se retrouvent au cœur d’une polémique suite à l’annonce de « suppressions » de postes au sein de leur structure.
En pleine restructuration, leur fondation a fusionné pour devenir (Archewell Philanthropies),mais ce changement de façade cache une réalité bien plus sombre : des « difficultés financières » majeures qui rendent les réductions d’effectifs « inévitables ».
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Qualifiés d’avares par certains critiques pour avoir remercié des employés juste avant Noël, le couple a tenté de riposter via son porte-parole, tout en admettant que des licenciements toucheraient les postes administratifs.
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Au-delà de la gestion humaine, c’est la comptabilité de l’organisation qui soulève des questions de plus en plus embarrassantes.
La confiance des donateurs semble sérieusement ébranlée, possiblement en raison de doutes sur l’utilisation réelle des fonds. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : après avoir récolté la somme colossale de « 13 millions de dollars » en 2021, les dons se sont effondrés à seulement « 2 millions » l’année suivante.
Plus troublant encore, un décalage flagrant apparaît dans les déclarations. Alors que des organismes comme (Fidelity Charitable) évoquent des contributions de plusieurs millions, Archewell affirme n’avoir reçu que deux subventions d’un million de dollars de la part de mécènes anonymes. Cette opacité alimente les rumeurs de détournement ou, du moins, d’une gestion pour le moins créative.
En 2024, le bilan est particulièrement lourd : la fondation n’a cumulé que « 2,1 millions de dollars » de recettes pour « 5,1 millions » de dépenses, enregistrant des pertes abyssales.
Sur les fonds restants, la part réellement reversée à des œuvres caritatives semble fondre comme neige au soleil face aux salaires et aux frais de consultance. On note par exemple un versement de « 155 000 $ » à Beth Herlihy, l’ancienne assistante personnelle de Meghan. Entre le départ de cadres clés comme (Kristin Slevin), qui percevait un salaire annuel de « 146 000 $ », et la dépendance quasi totale à un unique bienfaiteur mystérieux, l’empire philanthropique des Sussex vacille sur ses bases, laissant planer un doute persistant sur la pérennité de leurs engagements.