
Arnaud Montebourg, figure marquante de l’aile gauche du Parti socialiste, s’est retrouvé au cœur d’une révélation surprenante ce jeudi 11 avril.
Candidate déclarée à la présidence de la République, Marine Le Pen ne supporterait pas le buzz autour d’Eric Zemmour, qui empiéterait sur ses plates-bandes, et elle n’a pas manqué de le tacler.
« Chacun à son calendrier, le mien c’est d’aller à la rencontre des Français », a déclaré la patronne de Rassemblement National dont le propos a été repris par « Le Parisien ».
Les journalistes étaient à sa rencontre au lendemain du buzz provoqué par le débat organisé entre Eric Zemmour et Jean-Luc Mélenchon.
« Je vais sillonner la France, je vais au milieu des Français, c’est ça mon agenda », avait-elle ajouté alors que le polémiste identitaire lui mord la cheville sur les sondages.
Et ce jour-là, celle qui n’a pas assisté au mariage de sa nièce Marion Maréchal-Le Pen n’a manqué de lui asséné un coup de griffe en renvoyant son rival qui a suscité un immense buzz en raison de sa proximité avec sa jeune conseillère Sarah Knafo à « à son milieu, celui des médias.
L’ancien polémiste de Cnews serait déconnecté des réalités du quotidien.
Et de revendiquer une « modestie », sa « marque de fabrique ». Comme un tacle
en creux, encore un, « adressé à Éric Zemmour ».
Marine Le Pen espère être « la candidate des solutions concrètes », qu’elle oppose à « l’agitation médiatique » de son sérieux rival qui brise l’élan de sa campagne. Une grande guérilla médiatique en cause.
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