
C’est sans Carla Bruni, sa tendre épouse que Nicolas Sarkozy, a diné dans le plus grand secret à Emmanuel Macron à l’Élysée. Des détails sur de diner ont été donnés par la Tribune Dimanche.
De sa première nuit avec Carla Bruni qui a partagé sa vie durant deux ans, Louis Bertignac y revient une nouvelle fois dans les colonnes du magazine ’VSD’, où il évoque également ses débuts avec Téléphone.
‘Normalement, dans les groupes de rock, ça fait la queue dans les loges, explique-t-il. Mais le fait qu’il y ait Corine…(Marienneau) C’était pas le chien de garde, mais disons que ça freinait les ardeurs de certaines. Imagine pour un mec complexé comme moi : t’es dans un groupe de rock qui cartonne… Manque de pot, ta gonzesse est dedans ?! ».
Dans les années 80, elle a fait la rencontre de Carla Bruni.
’Ah, Carla ?! Elle avait 16 ans, moi, la trentaine, se souvient Louis Bertignac. Mais bon, j’ai connu pire comme différence d’âge depuis’.
Ce soir-là, le guitariste rentrait chez lui, « dans le passage au Pré-Saint-Gervais ». Il est alors tombé sur « deux loutes avec des grands cheveux raides, belles comme pas possible ».
’Bon, moi qui essuyais un nombre de râteaux invraisemblable, même avec des moches, je me suis dit : “Qu’est-ce qu’elles foutent là ??”, persuadé que ce n’était pas pour moi. En réalité, les deux jeunes femmes ont sonné à la porte : « On a trouvé ton adresse et on aimerait bien boire un coup avec toi ».
’Et là, c’est comme dans un film : j’ai eu mes 20 secondes de courage, ces 20 secondes qui peuvent changer ta vie, se souvient-il dans VSD. Je les ai fait entrer, puis j’ai dit à Carla : “Viens en haut, j’ai quelque chose à te montrer.” Arrivés à l’étage, je l’ai embrassée. Elle n’était pas encore mannequin, mais je la trouvais merveilleuse.’.
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