"J’aimerais le serrer dans mes bras. Je pense qu’il en a besoin, tout comme moi", confie celui qui affirme être le fils naturel de Charles III et Camilla Parker-Bowles. Il est âgé d’une cinquantaine d’années.
Pour lui, les épreuves traversées par le duc de Sussex résonnent douloureusement avec son propre vécu, notamment son ressentiment face à « l’héritage paternel ».
« Il s’est fait avoir par son père. Il a un compte à régler avec Charles, tout comme moi », fait-il savoir.
L’Australien qui a porté plainte contre le roi pour reconnaissance de paternité se trouve ainsi un point commun avec le frère du prince William.
Il tente d’amorcer un rapprochement.
« La possibilité de tous nous retrouver autour d’une table serait très instructive », a-t-il ajouté.
Sur les réseaux sociaux, Simon Charles Dorante-Day-Day multiplie les montages mêlant son image à celle de sa supposée famille d’origine. « Chaque fois que je regarde mon fils Liam ou ma fille Meriam, je vois la reine Elizabeth. C’est un rappel constant, une douleur impossible à ignorer », déplore-t-il.
Son histoire est de réaliser un test ADN avec un membre de la famille royale.
Ainsi, le défi est lancé : le prince Harry va-t-il accepter de rencontrer son supposé demi-frère ? La réponse reste en suspens, tandis que Simon Charles Dorante-Day persiste dans sa quête d’un rapprochement.
Et d’affirmer que le mari de Meghan Markle sait « ce que c’est d’être rejeté. Il sait ce que c’est que d’être traqué par la presse. Nous avons bien plus en commun qu’on ne le pense".
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