Mais l’héritier en second du trône britannique est prêt depuis ses 13 ans, âge à partir duquel auquel il était régulièrement reçu par sa grand-mère à déjeuner.
Très proche du prince William, la Reine s’est assurée que le deuxième dans l’ordre de succession serait prêt à régner quand son tour viendra.
Ainsi, en 1995, juste après le divorce du prince Charles et Diana, Elizabeth II s’est-elle rapprochée de William pour l’aider à surmonter cette épreuve. Elle le recevait chez au château tous les dimanches pour déjeuner. C’était surtout pour lui éviter une dépression.
Tous les sujets étaient abordés, notamment sa scolarité. La reine Elizabeth le conseillait aussi sur sa future fonction de roi.
« Philip s’excusait discrètement parce qu’il ne voulait pas interférer sur le côté constitutionnel du travail de la Reine », a confié l’historien et biographe Robert Lacey au magazine People, repris par Royauté
Le mari de Kate Middleton a donc a appris « très tôt à appliquer le célèbre “Never complain, never explain” (“Ne jamais se plaindre, ne jamais expliquer”).