Les projecteurs braqués sur elle, Julia Vignali, la nouvelle maîtresse de cérémonie d’“Affaire conclue” après le départ de Sophie Davant, a traversé une épreuve intense, une nuit chaotique.
Le magazine France Dimanche en dévoile les circonstances.
Les draps imprégnés de sueur, la peau moite, l’angoisse en toile de fond...
Prendre les commandes d’“Affaire conclue”, une émission adulée par les téléspectateurs, qui permet à chacun de proposer ses objets les plus précieux à la vente, aurait dû être une source de joie pour Julia Vignali. Cependant, la réalité est tout autre, car ce qu’elle partage aujourd’hui, c’est avant tout la pression et les appréhensions de succéder à Sophie Davant, qui a animé l’émission pendant six ans. La femme de Kad Merad avait la pression, indique la publication.
C’est d’autant plus intimidant lorsque l’on sait que Stéphane Bern était initialement pressenti pour ce rôle, ce qui explique pourquoi l’épouse de Kad Merad se trouve aux prises avec une inquiétude intense, à la hauteur des enjeux.
Julia Vignali admet d’ailleurs dans une interview avec Télé Star avoir vécu une « nuit d’insomnie » le 20 août, veille de sa première grande émission, précisant qu’elle avait « revu en boucle l’émission » jusqu’au petit matin.
Cette nuit est décidément éprouvante. Pour aggraver les choses, le thermomètre s’affole et l’atmosphère est étouffante. Si dans ses débuts en tant que miss météo sur Canal + elle se contentait de prévoir les intempéries, maintenant « elle les ressent intensément. Les draps humides de transpiration, la peau humide, le sommeil qui la fuit, l’esprit en ébullition incessante ». En d’autres termes, « le trac, la peur, cette appréhension qui saisit, le signe des plus grands ».
Bien entendu, Julia Vignali pourrait se tourner vers Kad, son mari, cet acteur aux mille facettes, du comique Bienvenue chez les Ch’tis au sérieux Baron noir, capable de faire rire ou de tirer des larmes : une figure protectrice. Mais à quoi bon le réveiller en pleine nuit ? Que pourrait-elle vraiment lui dire ? Qu’elle redoute de ne pas être à la hauteur le lendemain ? « Pour lui, c’est un quotidien bien connu. Ainsi, elle construit déjà le scénario dans sa tête. Elle tente d’anticiper chaque oubli et chaque imprévu. Elle sait aussi que, vu son état au réveil, les maquilleurs ne risquent pas de s’ennuyer ».
Finalement, elle s’en est bien sortie.
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