Charles III : Ses premières confidences bouleversantes sur son cancer

– par Nolwenn A. Dalpiva
Charles III : Ses premières confidences bouleversantes sur son cancer

Alors que le Roi Charles III se montre d’une discrétion exemplaire concernant sa santé, le 22 juillet dernier, à l’occasion d’une visite près de Cambridge, l’époux de Camilla Parker-Bowles a baissé la garde.



Avec une sincérité désarmante, il s’est laissé aller à de petites confidences sur son état de santé, offrant un aperçu inédit de son combat.

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En janvier 2024, le souverain avait annoncé une nouvelle très inquiétante aux Britanniques : il serait atteint d’un cancer de la prostate. Une autre rumeur le prétend au prise avec le cancer de l’intestin.

Depuis, le monarque n’avait plus donné de nouvelles publiques sur sa santé, laissant planer un certain mystère.

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Mais récemment, Paris Match révélait que "Le monarque continuerait de suivre un traitement anormalement long. Même si, selon une source royale, celui-ci se poursuivrait dans une ‘direction positive’ comme peut en témoigner l’agenda ininterrompu du souverain.".

Le magazine indiquait toutefois que le cancer serait "incurable", et que Sa Majesté n’aurait "pas le cœur à préparer ses 80 ans en 2028", conscient qu’il pourrait mourir "avec son cancer mais pas du cancer".

Malgré ces informations, le Roi Charles III semble prêt à affronter la réalité en face. Le 22 juillet, lors de sa visite au Jockey Club de Suffolk, près de Cambridge, il a offert un véritable bain de foule aux côtés de la Reine Camilla. C’est là qu’un échange poignant a eu lieu avec Lee Harman, un ancien malade du cancer.

"Je lui ai demandé comment il allait et il m’a répondu qu’il se sentait beaucoup mieux et que ça ‘fait partie des choses de la vie’", a confié Lee Harman, visiblement ému par cette proximité.

À son tour, le roi a pris des nouvelles de son interlocuteur : "Il m’a demandé comment j’allais et je lui ai répondu que j’allais bien, que j’avais été débarrassé de mon cancer l’année dernière.".

Un moment fort, rempli d’empathie, qui a certainement dû toucher le roi en plein cœur.

Ces premières confidences publiques du souverain sont un signe de force et de résilience face à la maladie.