C’est le rappel du magazine Bunte, qui a analysé dans son édition en ligne la récente visite de l’épouse du prince Albert de Monaco au Vatican, où elle s’est affichée en robe noire, en décolletée.
« Et comme cerise sur le gâteau, elle a serré la main du pape François avec ses ongles vernis de noir. Autre erreur - dans la famille princière, seules les couleurs nude, blanc ou rose clair sont en fait autorisées », a glissé la publication.
Une certitude, le Pape n’en a pas voulu à la princesse et a partagé avec elle un large sourire. Il l’a rencontrée à plusieurs reprises.
Le magazine Closer ne revient sur cette rencontre, mais affirme que l’ex-tueuse des bassins est toujours aussi mystérieuse, dotée d’une personnalité difficilement déchiffrable.
« Un baiser fougueux à Oslo, en Norvège, au mois de juin, augurait le rapprochement des époux Grimaldi… Patatras au Bal de la Rose, le 8 juillet, où la princesse a brillé par son absence », rapporte le magazine Closer, qui a décelé de la tristesse chez la première dame monégasque.
Charlène de Monaco était absente au Bal de la Rose afin de ne pas faire de l’ombre à Caroline de Monaco, sa belle-sœur.
« Qu’à cela ne tienne, Charlène avait retrouvé son demi-sourire la semaine suivante, sculptée dans une robe Gucci, au 73e Gala de la Croix-Rouge à Monte-Carlo », glissait la publication.
« Entre sourire de circonstance et blues tenace, difficile de percer le mystère Charlène, qui semble à la recherche du bonheur perdu ».