Charlène de Monaco complexée, mépris de classe, la maitresse du roi du Suède ouvre son cœur

– par Christophe Wiedemann
Charlène de Monaco complexée, mépris de classe, la maitresse du roi du Suède ouvre son cœur

Si Charlène de Monaco se sent si mal à l’aise en public, ce serait à cause d’une sorte de complexe. Elle n’aurait pas appris grand-chose à part la natation. Une proche, Vera Dillier, ex-compagne du roi de Suède, Carl Gustave, se livrée à son sujet.



Cette spécialiste des têtes couronnées connait la princesse Charlène de Monaco pour l’avoir croisée à plusieurs reprises. Et elle connait aussi le prince Albert de Monaco avec lequel elle a passé des vacances. C’était il y a vingtaine d’années. Ils garderaient le contact.

Avant son retour sur le Rocher, l’épouse du prince Albert de Monaco aurait été soignée pour épuisement moral et physique à la clinique suisse Les Alpes près de Montreux.
Cet établissement est spécialisé dans le burn-out et les maladies liées à l’addiction.

« Charlène se retrouve tellement mal à la cour qu’elle a fini en dépression. Il faut se le rappeler avant de tenter de la pointer du doigt. Il y a des photos de ses cheveux rasés, un témoignage de l’obscurité de son âme, un signe de son désespoir », confie-t-elle dans un entretien accordé au magazine italien Oggi.

Être princesse et épouse de souverain n’est pas une activité aisée. « C’est un travail très difficile », a insisté cette spécialiste. « Cette pauvre femme ne pouvait plus supporter son rôle. En plus c’est une fille aux origines modestes, qui n’a pas appris grand-chose à part la natation ». Charlène de Monaco n’aurait pas fait d’études.