Carla Bruni et Nico­las Sarkozy, que faisaient-ils le soir des atten­tats du 13 novembre ?

– par Nolwenn A. Dalpiva
Carla Bruni et Nico­las Sarkozy, que faisaient-ils le soir des atten­tats du 13 novembre ?

Le jour des attentats du 13 novembre 2015, Nico­las Sarkozy et Carla Bruni-Sarkozy fêtaient l’anniversaire de leur rencontre dans un restaurant parisien, une soirée terrible sur laquelle revient l’ex président dans les pages du magazine « Vogue ».



« C’était l’anni­ver­saire de notre rencontre, j’ai invité ma femme au Plaza parce qu’il n’y a que des touristes », se rappelle l’ancien chef de l’État, qui avait choisi cet établissement pour ne pas être impor­tuné par des badauds.

Juste après le diner, le couple se rend à son domicile au lieu de prolonger la soirée. Il faut dire, que fan de footballeur, l’ex président de la république ne voulait pour rien au monde rater la rencontre opposant la France et Alle­magne au Stade de France.

« On a dîné tôt, ensuite on est rentrés regar­der le foot, se rappelle Nico­las Sarkozy. Ils n’ont pas arrêté le match, c’est par des textos qu’on a appris les atten­tats… ».

Jacques Séguéla avait, on le rappelle, donné des précisions sur la rencontre de l’ex couple présidentiel dans son auto­bio­gra­phie non auto­ri­sée, éditée chez Plon).

Il décrit à cette occasion « le jeu inat­tendu de séduc­tion entre deux fauves chacun, tour à tour, marquant son terri­toire en titillant l’autre ».

C’est l’année suivante que Nicolas Sarkozy et Carla Bruni uniront leurs destinées. « Ils étaient program­més l’un pour l’autre », assurera leur ami.
« J’ai vu que l’un et l’autre perdaient à un moment donné leurs moyens parce qu’ils se disaient : “C’est plus du jeu, c’est la vie », s’est rappelé le publicitaire, qui s’est souvenu que la chanteuse et l’ex président de la république avaient déjà fait des projets d’avenir lors de ce diner.

« On fera des enfants, on fera ceci, on fera cela », précisait-il avant de raconter d’autres souvenirs détaillés.
À 2h15, Carla Bruni « m’ap­pelle et elle me dit : “Je dois dire que ton copain, oui, il sait séduire les femmes. Mais c’est quand même un salaud parce que je lui ai donné mon télé­phone et il ne m’a pas appe­lée’. Ils s’étaient quit­tés depuis 15 minutes ?! », explique le publi­ci­taire, qui a appelé le président de la république dès le lendemain.

« Ça s’est vu, mais tu es quand même un jean-foutre parce qu’elle m’a quand même appelé à 2h15 du matin pour me dire que tu ne l’avais pas appe­lée, donc tu quittes l’Ély­sée trois minutes, tu lui télé­phones ?!, indiquait-il. Et le soir, ils ont dîné ensemble et ils ne se sont plus jamais quit­tés ».